Lamenti (Various)

Virgin 5190442
Patrizia Ciofi (soprano), Rolando Villazón (tenor), Topi Lehtipuu (tenor), Marie-Nicole Lemieux (alto), Laurent Naouri (bass-baritone), Christopher Purves (baritone), Natalie Dessay (soprano), Simon Wall (tenor), Véronique Gens (soprano), Joyce DiDonato (mezzo), Philippe Jaroussky (countertenor); Emmanuelle Haim (conductor), Le Concert d'Astrée.
01 Hipparco, e di Climene, Lamento d’Egisto; 02 Non havea Febo ancora, Lamento della Ninfa; 03 L’Eraclito amoroso; 04 Lasciatemi morire, Lamento d’Arianna; 05 Superbe colli; 06 Addio Roma; 07 Acate, Ilioneo, Lamento di Enea; 08 Ferma, lascia ch’io parliâ, Lamento di Maria Stuarda; 09 Dure noie, Lamento d’Atamante; 10 Alle ruine del mio regno, Lamento d’Ecuba e Cassandra; 11 Tu se’ morta mia vita, Lamento d’Orfeo.
Patrizia Ciofi sings on tracks 08 and 10.
Released September 2008.
REVIEWS:

"Starry casts of singers aren’t unknown in records of Baroque repertoire. But has any release before Lamenti contained a lineup of golden throats to top the 11 assembled by Emmanuelle Haïm and Le Concert d’Astrée for this excellent programme of 17th-century laments? ... Patrizia Ciofi, a late arrival, successfully walks the same tightrope, scaling her top register with thrilling power in Cavalli’s Mary Stuart lament." Times Online

"This first-class recording provides a fascinating, superbly sung demonstration of the central place that laments occupied in 17th-century Italian secular music, and their ability to create a perfect union between words and mood. Tempestuous mood swings, frequently founded on a ground bass, are the order of the day, whether in Monteverdi's Lamento della Ninfa or Barbara Strozzi's more quietly sorrowful L'Eaclito amoroso. Rolando Villazón gives a magnificently high-octane performance of an extract from Cavalli's L'Egisto, as does Patrizia Ciofi of Carissimi's compelling setting of Mary Stuart's vituperative valediction from the scaffold." Daily Telegraph

"Patricia Ciofi qui après avoir imposé son chant embrasé et incarné chez les auteurs du bel canto romantique, se dévoile époustouflante en Maria Stuarda de Carissimi, dont le Lamento de plus de 9 mn, souligne l'art du souffle, l'éclat des aigus déchirants, et la vérité dramatique. [...] Ajoutez à cette succession jubilatoire de tempéraments vocaux, la finesse d'un continuo cristallin, doué de fulgurances expressives sculptées dans la mesure et la nuance. Récital lyrique baroque de première importance: Emmanuelle Haïm nous régale. Disposions-nous dans le passé d'une telle palette de chanteurs désormais rompus aux délices du bel canto baroque?" Classique News

"Superbe Patricia Ciofi, redoutablement altière dans le Lamento di Maria Stuarda de Carissimi, au chant nuancé, âpre et désorienté à l'image de la reine déchue, sculptant chaque syllabe, lançant chaque mot comme un défi à la face d'un monde qui l'a outragée. La projection est droite, solide, presque dédaigneuse et soudain la soprano se laisse fléchir un instant, révèle la femme blessée, oublie un vibratello qui dit la souffrance derrière l'hermine déchirée." Muse Baroque

"Un beau disque thématique. [...] Ces héros et héroïnes qui se lamentent sur leur condition, s’en prennent à leur destin, puis acceptent finalement leur sort avec dignité, sont tout autant magnifiés par Cavalli (La Didone) où l’élocution incisive et la sensibilité de Topi Lehtipuu font merveille, que par Carissimi (Lamento di Maria Stuarda) qui permet à Patrizia Ciofi/Reine d’Ecosse, de sortir ses griffes dans un déferlement d’aigus piqués, avant de s’incliner en martyre et de marteler son innocence bafouée « Villipesa innocenza »." Forum Opera

"Jeder dieser Stars fasst die Kunst des Lamento durchaus unterschiedlich auf. So kann der Hörer die schwierige Wahl treffen, wer denn nun am schönsten leidet. Für mich ist dies Patrizia Ciofi, die eine angenehme Mischung aus Emphase und Kunstfertigkeit zu bieten hat, dabei ihre Partie mit vielen Schattierungen und Stimmungsumschwüngen zu variieren weiß." Musik an sich

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